Bon, évidemment, ce ne sont pas que les courses-poursuites pied au plancher qui produisent le plus d'émissions nocives, mais les effets pyrotechniques exagérés (puisqu'on sait qu'aux Etats-Unis une voiture qui sort de la route finit par exploser dans une immense boule de feu tandis qu'en Europe on ne voit qu'un peu de tôle froissée) et surtout les générateurs d'électricité au diesel qui tournent en permanence pour produire assez de jus pour alimenter tous les éclairages des plateaux de cinéma et de télévision.

Le groupe de recherche universitaire accuse l'industrie du divertissement de n'avoir prévu aucun plan de développement durable, contrairement aux autres secteurs industriels. La conscience écologique du milieu du septième art est inexistante, malgré l'engagement vert de certaines stars des écrans.